Je voyais aujourd’hui un site spécialisé dans “l’économie” (un truc qui commence par “capi” et qui finit par “tal”) évoquer le fait que le prochain smartphone de la marque à la pomme, comme on dit, serait vendu sans son chargeur. Ma première réaction a été : “mais quels enfoirés ! Encore un moyen de faire des économies d’échelle et de forcer l’achat d’un accessoire et donc d’aller y chercher la marge que l’on ne fait pas forcément sur le matériel lui-même”. Et puis j’ai lu les commentaires…
Lire la suite deLe monde d’après
La crise du coronavirus serait un avertissement lancé par la nature pour rappeler à l’Homme qu’il a une place dans un grand ensemble. L’humanité va donc forcément repenser son attitude et ne plus partir à la conquête de zones sauvages à des fins d’enrichissement ; il ne va plus détruire des zones entières de la planète uniquement pour l’argent et le pouvoir. Les gouvernements de tous pays n’auront pas d’autre choix que d’imposer aux sociétés une attitude raisonnable et responsable conduisant à la survie de toute l’humanité.
Haut les masques : l’empathie généralisée
Avec le coronavirus, notre société a l’occasion de tester l’empathie à grande échelle. C’est une expérience sociologique intéressante de mon point de vue.
Lire la suite deGreta Thunberg : les politiques en PLS
La classe politique et les réacs sont en PLS, et ça les oblige à bredouiller des semblants de preuve d’intérêt en ce qui concerne l’avenir de l’humanité. Mais ils n’arrivent pas pour autant à repenser les modèles (économique, de société…), parce que le PIB, c’est chouette. Je dis bravo, Greta. Soyons conséquentialistes et reconnaissons que ce combat-là a beaucoup plus de gueule que ceux en faveur du libre-échange (de richesses… pas de vies).
Lire la suite deLe voile… sur les vrais problèmes
Et c’est reparti. Régulièrement, les politiques, médias et autres agitateurs de la pensée se tapent une ligne de « voilophobie ». Encore une fois, on pointe du doigt un bout de tissu pour ne pas parler des problèmes sociétaux de fond, le délitement de la société sous le poids des inégalités liées à des positions néo-libérales.
Lire la suite deLaissez-moi choisir mon cancer
Depuis l’envie affichée de bannir les pesticides des clôtures, en interdisant leur dispersion à moins de dix mètres (c’est ça ?) des habitations, on entend des agriculteurs (donc en particulier un Toulousain insupportable) se plaindre des millions d’hectares perdus… ce qui va entraîner la fin d’un nombre incalculable d’artisans terriens de France et de Navarre (mais en fait, c’est où la Navarre ?).
Lire la suite de